NoteToMyself#3 26/Jun/1989
■Nos bureaux marketing 3D
sont situés à Paris, et nous avons 2 sites de production sont en province
■En 2021, une usine d’impression 3D permettra de
produire les pièces aux formes
innovantes 30% plus légères avec l’aide de notre R&D
■La phase 2 du projet 3DM
doit permettre de traiter les demande d’impressions 3D internes mais ambitionne
d’ouvrir le services d’impressions au industriels locaux
■La demande
d’impression 3D s’appuye sur une équipe de
« préparation à la production » et consiste en une etude de positionnement des
modèles 3D à imprimer.
■Le point critique de
compétences est la mise en plateau se qui implique de formuler des contraintes
d’industrialisation
■Le concepteur mécanique 3D
soit prendre en considération ces contraintes émises par la préparation de
production durant le processus de préparation à la production
■Les contraintes sont
nécessairement retraduites dans les fichiers 3D, au format natif , car nous
avons des solutions PTC et , Il y a une chaine outillé pour générer les .slt que je ne connais pas
précisément et qui permet de simuler le processus d’impression avant d’être
envoyer dans imprimantes 3D
■Le procédé d’impression
laser metal (SLM) est très long , 5 –
25 heures , genere une quantité importante de
données afin d’identifier les défaillances car nous ne le maitrisons pas encore
(conditions interne ex , gaz , humidité température) et alimente un lac de
données
■La mise au point du procédé
est encore fait chez le fabriquant des machines 3D, l’usine n’est pas prête, un
facteur critique est d’être dans une zone où les lignes électriques sont
stables , puissantes et opérationnelles ( un aéroport par exemple)
■A terme nous imaginons , automatiser ce
service via un portail client, qui alimenterait notre plan de
production et au travers de séquencement de
taches déclenchent les ordres de
fabrications et les facturations
associées